Indice PMI manufacturier de la Nouvelle-Zélande2002-2025 Données

L'indice de performance de l'industrie manufacturière (PMI) de BusinessNZ en Nouvelle-Zélande est tombé à 47,5 en mai, contre 53,3 en avril, signalant un retour à la contraction après quatre mois consécutifs d'expansion. La baisse reflète une perte importante de dynamisme dans le secteur, qui avait montré des signes de reprise en début d'année. Quatre des cinq principaux sous-indices ont chuté, avec les Nouvelles Commandes à 45,3 et l'Emploi chutant de 8,9 points à 45,7, son plus bas niveau depuis juillet 2024. Le sentiment négatif parmi les répondants est passé à 64,5 %, contre 58 % en avril. Les fabricants ont cité la baisse de la demande, les commandes faibles et la faible confiance des entreprises comme des défis majeurs. Les pressions supplémentaires comprenaient la hausse des coûts, l'incertitude économique et l'arrêt des commandes et des investissements à venir.

L'indice de performance manufacturière de BusinessNZ (PMI) en Nouvelle-Zélande a poursuivi son expansion à 53,9 en avril, contre 53,2 en mars. Cela a marqué le quatrième mois consécutif d'expansion, reflétant une reprise stable. Tous les sous-indices sont restés en territoire de croissance, avec la Production à 53,8 et les Nouvelles Commandes à 51,4, tandis que l'Emploi a grimpé à 55,0—son niveau le plus élevé depuis juillet 2021. Malgré l'amélioration globale, la proportion de commentaires négatifs a légèrement augmenté à 58%, en raison des préoccupations concernant les coûts élevés et l'incertitude économique. Néanmoins, certains fabricants ont signalé une croissance modeste, citant la demande provenant de projets d'infrastructure et de marchés de niche résilients. Bien que des défis persistent, le secteur continue de montrer des signes de force sous-jacente.

L'indice de performance manufacturière de BusinessNZ (PMI) en Nouvelle-Zélande a diminué à 53,2 en mars 2025, contre 53,9 en février. Malgré ce ralentissement, l'indice a signalé une expansion pour le troisième mois consécutif, avec des signaux mitigés dans le secteur. La production a atteint 54,2, son niveau le plus élevé depuis décembre 2021, et l'emploi a grimpé à 54,7, le plus fort depuis juillet 2021, indiquant une reprise solide. Cependant, les nouvelles commandes sont tombées en contraction à 49,6, reflétant des défis persistants en matière de demande. Les stocks finis ont bondi à 56,3, suggérant que les fabricants accumulent des stocks. Bien que les commentaires négatifs aient légèrement diminué par rapport à février, plus de la moitié des répondants ont encore souligné une demande faible, moins de commandes et une incertitude tant sur les marchés domestiques qu'à l'exportation. Avec les changements de politique commerciale mondiale créant une volatilité du marché, les perspectives pour le secteur manufacturier et la croissance économique globale restent prudentes.